Abbaye Sainte-Marie de Lagrasse | |
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Existence et aspect du monastère | |
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Existence | La « grande partie » du monastère est rendue à la vie religieuse en 2004 |
État de conservation | En 2014, l'abbaye remporte le « grand trophée de la plus belle restauration ». |
Autre(s) affectation(s) | La « petite partie » du monastère est propriété du département. |
Site web | https://www.lagrasse.org/ |
Identité ecclésiale | |
Culte | Culte catholique |
Type | Abbaye |
Présentation monastique | |
Fondateur | Abbé Nimphibius (reconstruction) |
Origine de la communauté | Le monastère primitif, fondé à une date inconnue, est reconstruit en un lieu nommé alors « Novalius » en 779. |
Ordre | Ordre de Saint-Benoît du VIIIe au XVIIIe siècle, Chanoines réguliers de la Mère de Dieu depuis 2004 |
Patronage | sainte Marie |
Historique | |
Date(s) de la fondation | 779 (refondation) |
Personnes évoquées | Charlemagne, Saint Louis |
Fermeture | Révolution française |
Architecture | |
Dates de la construction | VIIIe siècle (monastère d'origine) XIVe siècle (fortifications) 1537 (grand clocher) XVIIIe siècle (cour d’honneur, bâtiment conventuel et cloître) |
Styles rencontrés | Juxtaposition d'un caractère médiéval et du style classique |
Protection | ![]() ![]() ![]() |
Localisation | |
Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Aude |
Ville | Lagrasse |
Coordonnées | 43° 05′ 26″ nord, 2° 37′ 01″ est |
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L'abbaye Sainte-Marie de Lagrasse est une abbaye située dans la commune de Lagrasse dans le département de l'Aude en région Occitanie.
Monastère bénédictin du VIIIe siècle au XVIIIe siècle, l'abbaye est vendue comme bien national à la Révolution française et coupée en deux lots. Ses bâtiments sont presque laissés à l'abandon et très dégradés au cours du XIXe siècle, mais l'abbaye fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [1]. Les premières campagnes de restauration commencent en 1932, d'autres sont entreprises par les chanoines, et deux tentatives de retour à la vie religieuse sont faites mais ne perdurent pas.
Sa « grande partie » est rendue à la vie religieuse en 2004 lors du rachat par la communauté des chanoines réguliers de la Mère de Dieu, tandis que la part médiévale du monastère, la « petite partie », devient propriété du département.